Toutes Les Femmes S’Appellent Marie : Nadia

Je passe dans la chambre voisine pour m’y habiller. Je décide alors de récupérer toutes mes affaires et de m’installer dans la chambre voisine. J’y retrouve Marie et je reste scotché ! Bouche bée !
Elle a juste revêtu un mini short qui dévoile ses longues jambes musclées. Aux pieds des sandales à talon qui la font paraître encore plus grande. Chaussée ainsi elle me dépasse d’une tête et doit même se pencher pour m’embrasser. Un chemisier noué à la taille complète sa tenue. Seul souci, à travers le tissu du chemisier on devine son soutien gorge. Je l’enlace, dénoue son chemisier et lui retire.
« Tu veux encore faire l’amour ? On n’a pas le temps ! Marcel attend !
Ne t’inquiète pas » Je dégrafe son soutien gorge, lui enlève, récupère le chemisier et lui repasse. – « Tu n’as pas besoin de soutif ! C’est beaucoup plus joli sans rien !
Je sais, mais le problème, c’est que dès que je suis excitée, mes tétons pointent et on ne voit que ça ! C’est gênant !
Moi je trouve au contraire que c’est très beau ! Comme ça tu es une bombe ! Tu n’as pas un peu de maquillage aussi ?
Tu es complètement fou !
Bon, je t’explique. Ton look androgyne te convient parce que comme ça tu montres à tout le monde que tu es gouine et ça te protège. Mais comme tu n’es pas qu’homo d’après ce que j’ai vu depuis hier soir et ce matin, tu es donc bisexuelle. Je suis sûr que les mecs vont bander encore plus pour toi, parce j’en connais qui bandent déjà en te voyant comme ça.
Ah bon ? Et qui ?
Ben… Marcel, d’abord et d’autres aussi qui cachent leur envie de toi par des sarcasmes sur les gouines. Maintenant, avec ce mélange, les femmes banderont aussi. Si tu veux, cette semaine je veux bien paraître à ton bras, Ils seront tous jaloux !
Tu n’as pas peur de t’afficher avec moi ?
Je t’ai déjà dis, au contraire je vais faire des jaloux ou des jalouses ! Ça m’excite et si tes tétons bandent quand tu me regardes, j’en serai très fier !
Alors tu risques de l’être souvent !
Je sens que moi aussi je vais bander souvent ! »
Elle se maquille légèrement, dessine un peu le contour des yeux mais pas de rouge à lèvres qu’elle n’a d’ailleurs pas dans sa trousse.

Elle est superbe ! Je le lui dis et lui conseille de le faire plus souvent. Elle est complètement changée et je bande déjà !
Quand nous arrivons au salon de la résidence pour le petit déjeuner, je prends la main de Marie. Elle essaye bien de la retirer mais je la tiens bien. Marcel nous aperçoit et se fige, la bouche ouverte, n’arrivant pas à porter à ses lèvres la tartine qu’il s’apprêtait à avaler. Nous nous asseyons à sa table en face de lui.
« Alors, bien dormi ? Lance ma voisine sur un ton légèrement ironique.
Mmmm…
Dis-donc, dis-je, Tu as un sacré problème de sommeil toi ! C’était intenable hier soir ! Finalement ce n’est pas plus mal, c’est à cause ou plutôt grâce à ça que j’ai changé de chambre ! Bien m’en a pris ! Je t’en remercie ! »
Marcel ne peut rien dire, quand à Marie, au début elle est complètement gênée elle baisse la tête évitant le regard de Marcel et le mien. Quand je pose ma main sur la sienne, elle se tourne vers moi et me sourit un peu crispée malgré tout. Je l’embrasse sur les lèvres en souriant.
Le petit déjeuner est rapidement avalé surtout que la conversation avec Marcel est quasi-nulle. Nous rejoignons l’organisateur de la course qui nous a invités. Quand il découvre Marie, son regard traduit son admiration. Il la déshabille littéralement – il faut dire que c’est facile. Elle fait d’ailleurs sensation avec pas mal de monde chez les suiveurs de la course qui sont très majoritairement des hommes. Très peu connaissent le signe de ralliement des lesbiennes, aussi bavent-ils devant la silhouette de Marie.
Je repère un peu à l’écart une femme, qui elle non plus ne peut cacher son attrait pour ma compagne.
Nous n’avons rien de particulier à faire sur cette épreuve et profitons de ce que l’on appelle le « village départ ». L’ami organisateur vient alors trouver Marcel car il lui manque un pilote. Marcel ne veut pas conduire en course. Comme j’adore ça je propose mon aide qui est chaleureusement acceptée.

Je vais à la permanence pour me faire référencer. Dans ce genre d’épreuve tout est réglementé et comme je suis licencié il n’y a aucun problème. Je suis heureux de suivre une course de ce niveau au volant d’une belle voiture. L’affaire est vite faite et je serai chargé de piloter un commissaire.
L’organisateur s’arrange bien sûr pour embarquer Marie dans sa voiture et du coup, Marcel décide de monter avec eux. Il fait celui qui est avec Marie devant les autres. Il va se retrouver à ses côtés pendant quatre heures avec ses cuisses découvertes sous son nez sans pouvoir y toucher. Marie me dira plus tard qu’il a essayé mais elle a immédiatement retiré la main en lui jetant un coup d’œil courroucé. L’organisateur a vu la chose. Il oriente son rétroviseur sur les jambes de sa passagère et la draguera pendant toute la course ainsi qu’à la réception après l’arrivée. Comme sa femme est aussi présente il ne peut conclure.
En prenant ma voiture je constate que le commissaire que je pilote n’est autre que la femme qui a flashé sur Marie. Belle femme, la quarantaine épanouie et joviale. Je vois également qu’elle porte la bague distinctive des gouines ainsi qu’une alliance. Sûrement une bisexuelle ! Je verrai bien.
Je suis chargé de couvrir l’arrière de la course. La première heure est assez calme et comme aucun invité n’est monté avec nous, nous pouvons discuter tranquillement.
« Votre amie est charmante me dit-elle au bout d’un moment. Je sentais qu’elle cherchait à engager la conversation depuis un moment.
C’est Marcel qui l’a invitée.
Ah !... Et … il est… avec elle ?
Non ! Je ne crois pas non !
Comment ça ?
Et bien… Ce n’est pas faute d’avoir essayé mais cela ne s’est pas passé comme prévu par lui. Il a pris notamment un « vent » hier soir. » Elle rigole.
Ah !... Il a essayé ?
Oui ! Il ne savait pas qu’elle préfère les femmes…
Ah bon !
Mais qu’elle ne déteste pas les hommes, à condition qu’ils ne soient pas trop « lourds »
Vous semblez bien la connaître ?
Oui.
Depuis longtemps.
Et vous croyez que…
Vous avez une chance avec elle ?
Euh… Ça se voit tant que ça ?
Je suis très observateur. J’ai bien vu votre regard ce matin quand on est arrivés. J’ai vu aussi que vous aviez remarqué sa bague et que vous portez la même.
Coquin… Il faut dire qu’elle est très belle. Je vous choque peut-être ?
Sûrement pas ! Je peux vous poser une question ?
Oui bien sûr !
Je vois que vous avez une alliance. Vous êtes mariée ?
O… Oui mais
Vous aimez aussi les femmes.
Oui.
Uniquement ?
N… Non mais…
On pourrait se tutoyer non ?
D’accord.
Ça te dirais si je t’aide un peu avec elle ?
Tu ferais ça ?
Sans problème !
Tu m’as l’air un sacré coquin toi…. »
La radio de la course nous interrompt et nous devons travailler un peu. Après quelques kilomètres le calme revient et nous pouvons reprendre notre conversation. J’interroge ma passagère :
« Tu es commissaire aussi samedi prochain ?
Oui.
Et tu fais quoi cette semaine ?
Je reste par là, je vais profiter de quelques jours de vacances. Pourquoi ?
Moi je serai occupé par l’organisation à partir de mardi après-midi mais Marie est libre jusqu’à vendredi.
Ah merci ! Je sais maintenant qu’elle s’appelle Marie.
Et toi c’est comment ?
Nadia.
OK. Bon je dois t’avertir qu’elle a une amie depuis de nombreuses années. Elles ne vivent pas ensemble mais sont très proches. Je ne sais pas si elle va répondre à tes avances.
Je verrai bien merci en tout cas. Si ça marche, je te revaudrai ça » Elle pose sa main sur la mienne
Ce geste m’ouvre bien des perspectives. Nadia n’a pas l’air farouche non plus.
La fin de course est traditionnellement agitée, même si à l’arrière tout se passe bien. Après l’arrivée où je laisse ma passagère qui doit travailler sur le compte rendu, je ramène ma voiture à l’organisation et retrouve Marie et Marcel.
Au cours de la réception d’après course, je retrouve Nadia et me rapproche d'elle.
Marie bien sûr est sollicitée par les mâles en chasse, mais je parviens à la faire venir auprès de nous. Son regard sur la commissaire lorsque je les présente prouve qu’elle aussi est attirée. Je les laisse seules un moment et je vois qu’elles se rapprochent nettement. La fin de la réception arrivant je reviens vers elles. Nadia me sourit et d’un signe de tête m’informe que la situation s’annonce bonne. Curieusement, Marie évite mon regard. Je sais bien pourquoi, elle pense me trahir. Je propose que l’on aille se changer avant de rejoindre tout le monde pour le banquet. Nadia qui est hébergée dans la même résidence va nous suivre. Marcel lui, reste sur place, pour boire l’apéro avec ses copains.
A l’accueil de la résidence on s’aperçoit que la chambre de Nadia est située juste en face de la notre. Quand Marie rentre dans la chambre de son côté, je glisse à notre voisine « viens dans 2 minutes et entre sans frapper.»
Dans la chambre, j’enlace Marie, dénoue et enlève son chemisier. Ses tétons bruns sont dardés et durs. Tout en l’embrassant je lui retire le mini short et la culotte. J’ai fais en sorte que Marie soit de dos à la porte. Quand Nadia entre Marie ne peut la voir. Sans bruit, celle-ci s’approche, pose ses mains sur les hanches de Marie et l’embrasse dans le cou.
Marie a sursauté mais je la maintiens bien. Je recule mon visage et lui souri puis la fais tourner face à Nadia. Marie tourne une dernière fois la tête vers moi, me sourit à son tour puis enlace sa compagne et l’embrasse.
J’abandonne les deux femmes enlacées, me déshabille et file sous la douche. A mon retour les deux tribades sont couchées nues sur le lit et se caressent, s’embrassent. Il fait chaud dans la chambre. Je m’assois sur une chaise et j’admire le spectacle. Nu et bandé je me branle tranquillement.
Marie est grande et musclée, sa peau blanche tranche avec celle cuivrée de Nadia qui est plus en rondeurs et entièrement épilée. Les deux femelles ne se préoccupent pas de moi, toutes à la joie de se découvrir et se faire jouir. Marie ne tarde pas d’ailleurs à gémir quand sa compagne s’attaque à ses tétons érectiles qu’elle suce ardemment. Les doigts de chacune sont enfouis dans la chatte de l’autre et elles unissent leurs souffles pour crier leur plaisir.
Le calme revient enfin dans la chambre. Elles me découvrent alors face à elles en train de me branler.
« Ma chérie ! Lance Nadia. Regarde ce salaud qui nous mate ! Ça lui plaît de voir deux gouines se donner du plaisir ! Il est pas mal monté tout de même !
Et il se sert bien de sa langue de ses doigts et de sa queue aussi !
Parce que toi et lui …
Oui ! Depuis hier soir ! Ce salaud m’a fait jouir comme une folle trois ou quatre fois !
Il faut qu’à mon tour je le remercie de t’avoir mise dans mes bras !
Parce que…
Oui ! Ce salaud, comme tu dis, a remarqué mon… intérêt pour toi dès avant la course et il m’a proposé de m’aider à te draguer.
Bon, les filles dis-je. Ce n’est pas que je n’ai pas envie de me mêler à vous deux, mais pour l’instant il faut aller à la réception. Au retour on pourra s’amuser ! »
Malgré ma remarque Nadia se précipite à genoux et avale mon chibre en massant mes couilles. Marie s’approche alors et se penche pour m’embrasser « merci salaud ! ». J’invite les femmes à passer sous la douche mais chacune chez elle afin de gagner du temps.

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